Questions fréquentes sur les moustiques et les dispositifs de lutte

La FAQ Génostique

Mieux connaître les moustiques

Le moustique fait partie de la famille des culicidés. C’est un insecte (son corps est divisé en 3 parties), un diptères (il possède 2 ailes et 2 balanciers) et un anthropodes (son squelette est externe).

Les moustiques sont répandus dans le monde entier et sont bien connus pour leur capacité à piquer et à se nourrir de sang des animaux, y compris des humains. Les femelles de moustiques ont besoin de sang pour obtenir les protéines nécessaires à la maturation de leurs œufs, tandis que les mâles se nourrissent principalement de nectar et de substances sucrées.

Les moustiques ont une trompe fine appelée proboscis, qu’ils utilisent pour percer la peau de leur hôte et aspirer le sang. Leurs piqûres peuvent causer des démangeaisons, des rougeurs et des gonflements chez les personnes sensibles. De plus, les moustiques sont des vecteurs de diverses maladies transmissibles à l’homme, telles que le paludisme, la dengue, le virus du Nil occidental, le chikungunya et le Zika, entre autres.

Les moustiques passent par différents stades de développement, comprenant les œufs (stade 1), les larves (stade 2), les nymphes (ou pupes stade 3) et les adultes (stade 4). Ils se reproduisent généralement dans des environnements riches en eau stagnante, où les femelles pondent leurs œufs. Les larves se développent dans l’eau, se nourrissant de micro-organismes présents dans leur habitat, avant de se métamorphoser en nymphes puis en moustiques adultes.

Un œuf de moustique tigre peut survivre jusqu’à plusieurs mois dans des conditions favorables, comme une humidité adéquate. En général, ces œufs peuvent survivre pendant environ 6 à 9 mois. Cependant, la durée de survie peut varier en fonction de divers facteurs environnementaux tels que la température et l’humidité. Une fois que les conditions sont propices, les œufs peuvent éclore et donner naissance à des larves de moustiques tigres.

Cette durée peut aller jusqu’à plusieurs années, car les œufs sont très résistants au dessèchement et au gel.

Les larves de moustiques tigres se développent dans des environnements riches en eau stagnante, comme des récipients d’eau, des flaques d’eau, des gouttières obstruées, des pneus usagés et d’autres récipients ou endroits où l’eau peut stagner. Ces endroits fournissent des conditions idéales pour la ponte des œufs par les moustiques tigres et le développement ultérieur de leurs larves. Les larves de moustiques tigres ont besoin d’eau pour se développer, c’est pourquoi elles se trouvent généralement dans des zones humides. Jamais dans les piscines, ni dans les fossés. Elles se développent en 4 stades larvaires en l’espace d’une semaine.

La nymphe de moustique, également appelée pupe, est le stade de développement suivant celui de la larve. La durée de vie de la nymphe de moustique dépend de plusieurs facteurs, notamment la température, l’humidité et la disponibilité de nourriture. En général, la nymphe de moustique tigre peut vivre de 24 heures à quelques semaines avant d’émerger sous forme adulte. Une fois qu’elle émerge de son exuvie (la peau externe), elle devient un moustique adulte capable de se reproduire.

Le moustique tigre adulte a une durée de vie relativement courte, généralement de quelques semaines à un mois, selon les conditions environnementales et les facteurs individuels. En général, le moustique tigre mâle a une durée de vie plus courte que la femelle, car sa principale fonction est de se reproduire. La femelle peut vivre plus longtemps car elle doit survivre assez longtemps pour pondre plusieurs lots d’œufs. En moyenne, un moustique tigre adulte vit un mois.

Les moustiques piquent pour se nourrir. Seules les femelles de moustiques piquent, car elles ont besoin de sang pour produire des œufs. Elles sont hématophages. Lorsqu’un moustique femelle pique, elle insère sa trompe (appelée proboscis) dans la peau d’un hôte, puis aspire le sang pour obtenir les protéines nécessaires à la maturation de ses œufs. Les moustiques mâles, quant à eux, se nourrissent principalement de nectar de fleurs et ne piquent pas.

Les piqûres de moustiques peuvent causer des démangeaisons, des rougeurs et des gonflements chez les personnes sensibles aux substances contenues dans la salive du moustique. En plus d’être irritantes, les piqûres de moustiques peuvent également transmettre des maladies graves, comme le paludisme, la dengue, le virus du Nil occidental et le chikungunya, en injectant des agents pathogènes lorsqu’ils se nourrissent de sang.

Une collection d’eau contenant des larves de moustiques est souvent appelée un « gîte larvaire ». Les gîtes larvaires sont des endroits où les moustiques femelles déposent leurs œufs et où les larves se développent jusqu’à devenir des nymphes et, finalement, des moustiques adultes. Ces gîtes larvaires peuvent être des contenants d’eau stagnante tels que des pneus usagés, des soucoupes de pots de fleurs, des bassins d’ornement, des gouttières obstruées, des flaques d’eau, des bidons, des bâches en plastique, et tout autre récipient ou surface où l’eau peut stagner pendant un certain temps. Il est important de surveiller et d’éliminer les gîtes larvaires pour réduire la population de moustiques et prévenir la propagation de maladies vectorielles.

Les réceptacles qui produisent le plus de larves de moustiques sont généralement ceux qui retiennent l’eau stagnante pendant des périodes prolongées et qui offrent des conditions favorables au développement des larves. Voici quelques exemples de réceptacles qui sont souvent associés à une forte production de larves de moustiques :

  1. Pneus usagés : Les pneus usagés sont parmi les habitats préférés des moustiques pour pondre leurs œufs en raison de leur forme concave qui peut retenir l’eau. C’est dans des pneus venus de Chine que sont arrivés les moustiques tigres en Europe en 2004).
  2. Soucoupes de pots de fleurs : Les soucoupes de pots de fleurs peuvent accumuler de l’eau après la pluie et fournir un environnement idéal pour le développement des larves. Mettez du sable dedans pour éviter l’eau stagnante.
  3. Récipients de stockage : Des récipients tels que des seaux, des bidons, des barils et des cuves de stockage peuvent accumuler de l’eau s’ils ne sont pas correctement couverts ou entretenus. Videz les régulièrement.
  4. Gouttières obstruées : Les gouttières bouchées peuvent retenir l’eau de pluie et devenir des sites de reproduction pour les moustiques. Nettoyez les régulièrement.
  5. Bâches en plastique : Les bâches en plastique laissées à plat peuvent former des poches où l’eau de pluie s’accumule, créant ainsi un habitat propice à la reproduction des moustiques.
  6. Bassins d’ornement : Les bassins d’ornement, s’ils ne sont pas correctement entretenus, peuvent devenir des gîtes larvaires pour les moustiques.

Il est important de vider régulièrement ces réceptacles, de les couvrir ou de les entretenir correctement pour réduire la reproduction des moustiques et prévenir la propagation de maladies.

Le moustique tigre, également connu sous le nom scientifique Aedes albopictus, préfère les environnements urbains et périurbains. Il est souvent trouvé dans des zones où il y a une présence humaine et où il peut trouver des sources d’eau stagnante pour se reproduire. Ce moustique est particulièrement bien adapté aux environnements urbains car il peut se reproduire dans de petits contenants d’eau trouvés couramment dans les zones habitées, tels que les soucoupes de pots de fleurs, les gouttières obstruées, les seaux, les bidons et les pneus usagés. Le moustique tigre est également capable de se reproduire dans des zones plus naturelles, comme les marais, les étangs et les zones boisées, tant qu’il y a des points d’eau stagnante disponibles pour le développement de ses larves. En résumé, le moustique tigre se retrouve souvent dans des environnements où il peut trouver de l’eau stagnante pour la reproduction et où il peut se nourrir de sang humain ou animal.

Le moustique tigre, Aedes albopictus, a tendance à se déplacer sur de courtes distances une fois qu’il émerge de son habitat aquatique. En général, sa zone de déplacement ne dépasse pas quelques 150 mètres max, mais plutôt 20 à 30 mètres autour de son lieu de naissance. Cependant, la plupart des moustiques tigres restent proches de leur lieu de reproduction initial, car ils ont besoin de sources de nourriture (comme le nectar de fleurs pour les mâles et le sang pour les femelles) ainsi que des sites de reproduction.

C’est pourquoi il est important de réduire les gîtes larvaires autour des habitations et de prendre des mesures pour éviter les piqûres de moustiques dans les zones où le moustique tigre est présent. Des efforts de surveillance et de contrôle sont également déployés dans certaines régions pour limiter la propagation de ce vecteur potentiel de maladies.

Les moustiques sont attirés par plusieurs facteurs lorsqu’ils choisissent leurs hôtes, notamment les humains. Voici quelques-uns des principaux facteurs qui attirent les moustiques vers les humains :

  1. Odeur corporelle : Les moustiques sont sensibles aux odeurs émises par le corps humain, notamment les substances chimiques telles que le dioxyde de carbone (CO2), l’acide lactique et l’ammoniac, ainsi que d’autres composés organiques volatils. Ce sont ces leurres que l’on retrouve dans nos bornes piège à moustique.
  2. Chaleur corporelle : Les moustiques peuvent détecter la chaleur émise par les corps chauds, ce qui les aide à localiser leurs hôtes.
  3. Mouvements : Les mouvements, y compris ceux des personnes qui marchent ou bougent, peuvent attirer l’attention des moustiques et les inciter à s’approcher pour piquer.
  4. Couleur des vêtements : Certaines études suggèrent que les moustiques peuvent être attirés par certaines couleurs de vêtements, notamment le noir, le bleu foncé et le rouge.
  5. Type sanguin : Il y a des preuves que certains types de sang attirent davantage les moustiques que d’autres. Par exemple, les personnes de groupe sanguin O peuvent être plus susceptibles d’être piquées.
  6. Facteurs génétiques : Certaines personnes peuvent être génétiquement plus attractives pour les moustiques que d’autres, bien que cela puisse varier d’une espèce de moustique à une autre.

En combinant ces facteurs, les moustiques peuvent localiser et piquer leurs hôtes humains. Cependant, il convient de noter que l’attrait des moustiques peut varier d’une personne à l’autre et d’une espèce de moustique à une autre.

Lorsqu’un moustique pique, il injecte de la salive dans la peau de sa victime pour prévenir la coagulation du sang et faciliter son repas. Cette salive contient des substances chimiques qui peuvent provoquer une réaction allergique chez certaines personnes. Voici les principales raisons pour lesquelles une piqûre de moustique provoque des démangeaisons :

  1. Réaction allergique : La salive du moustique contient des protéines étrangères qui déclenchent une réponse immunitaire chez certaines personnes. Le système immunitaire réagit en libérant de l’histamine, une substance chimique qui provoque des démangeaisons, des rougeurs et des gonflements.
  2. Irritation de la peau : La piqûre elle-même peut irriter la peau, surtout si le moustique s’acharne à piquer plusieurs fois au même endroit.
  3. Sensibilité individuelle : Certaines personnes sont plus sensibles aux piqûres de moustiques que d’autres en raison de leur composition génétique ou de leur historique d’exposition aux piqûres de moustiques.
  4. Durée de la piqûre : Plus le moustique reste sur la peau et se nourrit longtemps, plus la réaction allergique et la démangeaison peuvent être intenses.
  5. Réactions chimiques : Les produits chimiques contenus dans les crèmes, lotions ou autres produits appliqués sur la peau peuvent parfois réagir avec les composés de la salive du moustique, augmentant ainsi l’irritation et les démangeaisons.

En résumé, les démangeaisons après une piqûre de moustique sont principalement causées par la réaction allergique du corps à la salive du moustique, qui déclenche la libération d’histamine et d’autres substances chimiques inflammatoires.

Oui, les moustiques tigres (Aedes albopictus) peuvent transmettre plusieurs maladies graves à l’homme. Bien qu’ils soient surtout connus comme vecteurs de la dengue, ils peuvent également transmettre d’autres maladies virales telles que le chikungunya, le virus Zika et la fièvre jaune.

La transmission de ces maladies se produit lorsque le moustique tigre pique une personne infectée par le virus, puis transmet ce virus à une autre personne lors d’une piqûre ultérieure. Ce processus permet la propagation rapide des maladies dans les zones où les moustiques tigres sont présents.

Il est important de prendre des mesures pour prévenir les piqûres de moustiques, telles que l’utilisation de traitements par pulvérisation, des pièges CO2+phéromones, des répulsifs, le port de vêtements longs et la réduction des sites de reproduction des moustiques, pour réduire le risque de transmission de ces maladies.

Oui, un moustique tigre (Aedes albopictus) peut piquer plusieurs fois. Contrairement à certaines autres espèces de moustiques qui peuvent se nourrir d’une seule piqûre de sang, les moustiques tigres ont tendance à piquer plusieurs fois pendant un seul repas sanguin. Cela signifie qu’ils peuvent percer la peau de leur hôte et se nourrir de sang plusieurs fois en une seule session de repas.

Cela peut se produire parce que le moustique tigre peut ne pas obtenir suffisamment de sang lors d’une seule piqûre, ou parce qu’il peut être interrompu pendant son repas et doit recommencer à se nourrir ailleurs sur la peau. Chaque piqûre peut provoquer des démangeaisons et des réactions allergiques chez l’hôte, et augmente également le risque de transmission de maladies si le moustique est infecté par un agent pathogène.

Les moustiques tigres (Aedes albopictus) préfèrent généralement pondre leurs œufs dans des environnements riches en eau stagnante, mais ils peuvent être trouvés dans une variété de habitats aquatiques. Cependant, les piscines traitées avec des produits chimiques comme le chlore sont généralement des endroits non propices à la ponte des moustiques.

Les moustiques tigres peuvent potentiellement pondre leurs œufs sur des surfaces ou des objets proches de la piscine, comme des soucoupes de pots de fleurs, des gouttières bouchées, des récipients d’eau stagnante, des flaques d’eau ou d’autres zones où l’eau peut stagner. Les larves se développent dans l’eau stagnante, donc si de l’eau stagnante se trouve dans les environs de la piscine, il existe un risque de reproduction de moustiques tigres.

Pour prévenir la reproduction des moustiques tigres, il est important de maintenir une piscine propre, de s’assurer qu’elle est correctement traitée avec des produits chimiques pour éliminer les larves de moustiques et de veiller à ce qu’il n’y ait pas d’accumulation d’eau stagnante dans les environs de la piscine.

En général, les moustiques tigres adultes ne survivent pas aux hivers rigoureux dans les régions où les températures sont très froides. Les moustiques tigres sont originaires de climats tropicaux et subtropicaux, et bien qu’ils puissent s’adapter à une variété de conditions climatiques, ils sont sensibles au froid intense.

Dans les régions où les hivers sont froids, les moustiques tigres adultes meurent souvent lorsque les températures chutent en dessous de zéro degré Celsius (32 degrés Fahrenheit) pendant de longues périodes. Cependant, certains œufs, larves ou nymphes peuvent hiberner ou survivre dans des environnements protégés contre le froid, comme des sous-sols ou des égouts, et émerger lorsque les températures se réchauffent à nouveau au printemps.

Dans les régions où les hivers sont plus doux ou tempérés, les moustiques tigres peuvent être actifs toute l’année, ou du moins pendant une grande partie de l’année. Ils peuvent même rester actifs pendant les mois les plus froids si les températures restent suffisamment douces pour leur permettre de survivre.

Contrairement à une croyance répandue, la lumière en elle-même n’attire généralement pas les moustiques vers les humains. Les moustiques se basent davantage sur d’autres facteurs tels que les odeurs corporelles, la chaleur corporelle, le dioxyde de carbone émis par la respiration et d’autres signaux chimiques pour localiser leurs hôtes.

Cependant, certaines sources lumineuses, comme les lampes, les lumières extérieures ou les écrans lumineux, peuvent attirer les moustiques indirectement en rendant les humains plus visibles à proximité. Par exemple, si une lumière extérieure attire les moustiques, ceux-ci pourraient être plus enclins à piquer les personnes qui se trouvent à proximité de cette lumière.

En général, les moustiques sont attirés par des signaux sensoriels spécifiques plutôt que par la lumière elle-même. C’est pourquoi la réduction des facteurs d’attraction tels que les odeurs corporelles et la chaleur corporelle sont des stratégies plus efficaces pour éviter les piqûres de moustiques que l’extinction des lumières.

Les moustiques se développent principalement dans des environnements riches en eau stagnante, plutôt que dans la végétation elle-même. Cependant, certains types de végétation peuvent offrir des abris ou des sites de reproduction potentiels pour les moustiques en retenant de l’eau stagnante. Par exemple, les plantes aquatiques flottantes, comme les lentilles d’eau ou les nénuphars, peuvent parfois fournir des habitats favorables pour les moustiques si de l’eau stagnante s’accumule entre les feuilles.

De plus, les moustiques adultes peuvent se reposer ou se cacher dans la végétation dense pendant la journée, en particulier pendant les périodes chaudes. Cependant, ils ne se développent pas directement dans la végétation comme le font les larves dans l’eau stagnante.

Pour réduire la reproduction des moustiques, il est important de surveiller et de vider régulièrement les sources d’eau stagnante dans la végétation, telles que les soucoupes de pots de fleurs, les récipients d’eau stagnante, les gouttières obstruées et autres zones où l’eau peut s’accumuler. Cela peut contribuer à limiter la population de moustiques et à réduire le risque de piqûres et de propagation de maladies.

La végétation dense peut fournir des abris et des sites de repos pour les moustiques tigres adultes pendant la journée, en particulier pendant les périodes chaudes. Les moustiques tigres adultes ont tendance à se reposer dans des endroits ombragés et abrités, tels que la végétation dense, pour éviter la chaleur excessive, le vent, la pluie et les prédateurs.

L’arrosage en soi ne favorise pas directement la présence des moustiques adultes. Cependant, si l’arrosage n’est pas correctement géré, il peut contribuer à la création de sites de reproduction pour les moustiques tigres adultes.

Si l’eau d’arrosage s’accumule dans des zones où elle stagne, comme des flaques d’eau dans des jardins, des soucoupes de pots de fleurs, des gouttières obstruées, des récipients abandonnés ou d’autres endroits propices à la reproduction des moustiques, cela peut fournir des habitats idéaux pour les larves de moustiques. Ces larves se développent dans l’eau stagnante et émergent ensuite en tant que moustiques adultes.

Pour réduire le risque de reproduction des moustiques tigres, il est important de gérer correctement l’arrosage pour éviter l’accumulation d’eau stagnante. Cela peut inclure l’élimination des soucoupes de pots de fleurs, le nettoyage régulier des gouttières, le drainage des zones où l’eau peut s’accumuler, et l’assèchement des récipients d’eau inutilisés. En gérant l’arrosage de manière responsable, vous pouvez contribuer à réduire la présence des moustiques adultes dans votre environnement.

Le temps nécessaire entre l’éclosion des œufs de moustiques et l’émergence des moustiques adultes dépend de plusieurs facteurs, notamment la température de l’environnement, l’espèce de moustique et les conditions environnementales.

En général, le processus de développement des moustiques passe par plusieurs stades : œuf, larve, nymphe (ou pupe) et adulte. Pour le moustique tigre (Aedes albopictus), par exemple, le développement des œufs jusqu’à l’adulte peut prendre en moyenne de 7 à 14 jours dans des conditions favorables de température et d’humidité.

Cependant, ce processus peut être raccourci ou prolongé en fonction des conditions environnementales. Par exemple, à des températures plus élevées, le développement peut être accéléré, tandis qu’à des températures plus basses, il peut être retardé. De plus, des facteurs tels que la disponibilité de la nourriture, la qualité de l’eau et d’autres conditions environnementales peuvent également influencer le temps nécessaire pour que les moustiques émergent en tant qu’adultes.

Après de forts épisodes de pluie, la nuisance des moustiques peut augmenter pour plusieurs raisons :

  1. Création de sites de reproduction : Les fortes pluies peuvent entraîner l’accumulation d’eau stagnante dans de nombreux endroits, tels que les flaques d’eau, les récipients abandonnés, les gouttières obstruées et autres zones où l’eau peut s’accumuler. Ces conditions créent des habitats idéaux pour la ponte des moustiques et le développement de leurs larves.
  2. Augmentation de la population de larves : Avec la disponibilité accrue de sites de reproduction, la population de larves de moustiques peut augmenter rapidement après de fortes pluies. Les larves se développent dans l’eau stagnante pendant quelques jours à quelques semaines avant de devenir des moustiques adultes.
  3. Augmentation de l’humidité : Les fortes pluies peuvent également augmenter l’humidité de l’environnement, ce qui peut favoriser la survie des moustiques adultes en réduisant leur déshydratation. Les moustiques adultes ont besoin d’humidité pour rester actifs et se reproduire efficacement.
  4. Stimulation de l’activité de ponte : Les conditions météorologiques, y compris les fortes pluies, peuvent influencer le comportement de ponte des moustiques femelles. Après une pluie, les moustiques peuvent être plus actifs et rechercher activement des sites de ponte appropriés.

Les fortes pluies créent des conditions propices à la reproduction et à la survie des moustiques, ce qui peut entraîner une augmentation de la population de moustiques et une augmentation de la nuisance pour les humains.

Les moustiques se déplacent principalement en volant, mais leurs déplacements peuvent également être influencés par le vent et d’autres facteurs environnementaux. Voici quelques détails sur la façon dont les moustiques voyagent :

  1. Le vol : Les moustiques sont des insectes volants et leur principal mode de déplacement est le vol. Ils utilisent leurs ailes pour se déplacer d’un endroit à un autre, à la recherche de nourriture, de sites de reproduction et d’abris.
  2. La dispersion passive : Les moustiques peuvent également être transportés passivement sur de longues distances par le vent. Les œufs, les larves ou les nymphes peuvent être emportés par le vent et dispersés sur de grandes distances, contribuant ainsi à la colonisation de nouveaux habitats.
  3. Les déplacements sur de courtes distances : Les moustiques peuvent également se déplacer sur de courtes distances en marchant ou en rampant le long de surfaces verticales ou horizontales, telles que les murs, les feuilles de plantes et autres surfaces.
  4. Les migrations saisonnières : Certaines espèces de moustiques, en particulier celles qui vivent dans des régions tempérées, peuvent migrer sur de longues distances d’une saison à l’autre pour éviter les conditions météorologiques défavorables ou pour suivre les migrations d’oiseaux, qui peuvent servir de sources de nourriture.
  5. Nos véhicules : En pénétrant dans les habitacles des véhicules (camions, conteneurs, voitures, avions…)  à l’état adulte.

En 2023, le moustique tigre (Aedes albopictus) avait déjà colonisé une grande partie du territoire français. À cette époque, il était présent dans 70 départements en France métropolitaine. Cependant, cette expansion continue et peut varier au fil du temps en fonction de divers facteurs, notamment les conditions météorologiques, l’environnement, les interventions de lutte antivectorielle et d’autres facteurs. Il est donc important de surveiller régulièrement la présence et la distribution du moustique tigre dans différentes régions.

Le moustique tigre (Aedes albopictus) est principalement actif pendant le jour, en particulier pendant les heures du matin et du soir, bien qu’il puisse aussi piquer occasionnellement la nuit. Contrairement à certains autres types de moustiques qui sont plus actifs pendant la nuit (comme le moustique commun Culex Pipiens), le moustique tigre est connu pour être agressif pendant la journée et est souvent considéré comme un « moustique de jour ».

Cependant, il est important de noter que le comportement de piqûre du moustique tigre peut varier en fonction de facteurs tels que la température, l’humidité, la disponibilité de nourriture et d’autres conditions environnementales. Par exemple, pendant les journées très chaudes, les moustiques tigres peuvent être moins actifs pendant les heures les plus chaudes et préférer se nourrir tôt le matin ou tard le soir lorsque les températures sont plus fraîches.

Les moyens de préventions

Il est extrêmement difficile, voire impossible, d’éradiquer définitivement les moustiques tigres (Aedes albopictus) dans une région donnée, en particulier dans les régions où ils se sont établis depuis longtemps. Voici quelques raisons pour lesquelles l’éradication totale des moustiques tigres est difficile :

  1. Capacité d’adaptation : Les moustiques tigres sont très adaptatifs et peuvent se reproduire dans une grande variété d’environnements urbains et périurbains. Ils peuvent utiliser de petits récipients d’eau stagnante comme sites de reproduction, ce qui les rend difficiles à éliminer.
  2. Mobilité : Les moustiques tigres peuvent se déplacer sur de courtes distances et coloniser de nouveaux habitats rapidement. Même si une zone est traitée pour éliminer les moustiques, de nouveaux individus peuvent migrer depuis des zones voisines et rétablir une population.
  3. Résistance aux pesticides : Les moustiques tigres peuvent développer une résistance aux pesticides utilisés pour les contrôler, ce qui rend le contrôle chimique moins efficace à long terme.
  4. Cycle de vie court : Les moustiques tigres ont un cycle de vie court, ce qui signifie qu’ils se reproduisent rapidement et peuvent produire de nombreuses générations en peu de temps. Cela rend le contrôle des populations existantes difficile.

Les moustiques font partie de notre éco-système. Chez Génostique, nous ne souhaitons pas une éradication totale des moustique mais plutôt réduire les populations à des niveaux gérables. Cela implique souvent une combinaison de mesures de lutte antivectorielle, telles que l’élimination des sites de reproduction potentiels, l’utilisation de pesticides ciblés et d’autres stratégies de contrôle comme le piègeage.

La lutte préventive contre les moustiques implique une approche holistique qui vise à réduire les populations de moustiques et à prévenir les piqûres. Voici quelques mesures préventives importantes :

  1. Éliminer les sites de reproduction potentiels : Videz régulièrement les contenants d’eau stagnante autour de votre maison, comme les soucoupes de pots de fleurs, les seaux, les bidons, les gouttières obstruées et autres récipients pouvant retenir l’eau. Assurez-vous que les piscines, les bassins d’ornement et les autres structures contenant de l’eau sont correctement entretenus et couverts lorsqu’ils ne sont pas utilisés.
  2. Installer des moustiquaires : Installez des moustiquaires sur les fenêtres, les portes et autres ouvertures pour empêcher les moustiques d’entrer dans votre maison. Assurez-vous que les moustiquaires sont en bon état et qu’il n’y a pas de trous par lesquels les moustiques pourraient entrer.
  3. Traiter vos extérieurs : Faites intervenir des professionnels agrées qui utilisent et maitrisent des produits biocides à molécules végétales (pyrèthre, tanacetum, chrysanthemum, géraniol…). Des pulvérisations régulières permettent de faire chuter considérablement les populations de moustiques.
  4. Utiliser le piégeage : Optez pour des pièges qui diffusent du CO2 et des leurres olfactifs comme des phéromones, qui reproduisent notre respiration et nos odeurs corporelles. Ces pièges ne sont pas nocifs et ne capturent que les moustiques femelles.
  5. Porter des vêtements longs : Portez des vêtements longs et légers, de préférence de couleur claire, pour réduire l’exposition de la peau aux piqûres de moustiques. Les moustiques ont plus de difficulté à piquer à travers les vêtements épais.
  6. Utiliser des dispositifs répulsifs : Utilisez des lampes anti-moustiques fonctionnant à base de pyrèthre, Certaines comme les produits de lamarque Thermacel sont très efficaces et offrent un dôme de protection de 20m2.
  7. Éviter les périodes de pointe : Évitez de passer du temps à l’extérieur pendant les périodes de pointe d’activité des moustiques, qui sont généralement tôt le matin et en fin d’après-midi / début de soirée.

En mettant en œuvre ces mesures préventives, vous pouvez réduire efficacement les populations de moustiques autour de votre maison et minimiser les risques de piqûres et de maladies associées aux moustiques.

Les moustiques sont attirés par certains types de couleurs, mais il n’y a pas de couleur de vêtement qui les attire moins de manière universelle. Cependant, certaines études suggèrent que les couleurs claires peuvent être moins attrayantes pour les moustiques que les couleurs sombres.

Les moustiques ont tendance à être attirés par des contrastes visuels, donc porter des vêtements de couleur claire peut rendre moins probable leur détection par les moustiques. De plus, les vêtements de couleur claire peuvent également aider à réfléchir la lumière du soleil, ce qui peut aider à garder le porteur plus frais et moins enclin à transpirer, ce qui peut également réduire l’attrait pour les moustiques.

Cependant, il est important de noter que d’autres facteurs, tels que les odeurs corporelles et la chaleur corporelle, sont également des déterminants importants de l’attrait des moustiques. Porter des vêtements de couleur claire peut être un élément d’une stratégie globale pour réduire les risques de piqûres de moustiques, mais il est également essentiel de prendre en compte d’autres mesures préventives telles que l’utilisation de produits de traitement et la réduction des sites de reproduction des moustiques.

Les chauves-souris sont souvent considérées comme des prédateurs naturels des moustiques, mais leur efficacité réelle dans le contrôle des populations de moustiques peut être limitée. Voici quelques points à considérer :

  1. Consommation de moustiques : Les chauves-souris se nourrissent d’une variété d’insectes, y compris les moustiques, mais la proportion de moustiques dans leur régime alimentaire peut varier en fonction de la disponibilité d’autres proies. Les chauves-souris peuvent consommer plusieurs centaines de moustiques par heure lorsqu’elles sont actives, ce qui peut contribuer à réduire les populations locales de moustiques.
  2. Habitat et comportement : Les chauves-souris ont des préférences spécifiques en matière d’habitat et de chasse, et leur présence peut être plus importante dans certaines zones que dans d’autres. Elles sont souvent plus actives la nuit, lorsque les moustiques sont également actifs.
  3. Limitations : Bien que les chauves-souris puissent consommer des moustiques, elles ne sont généralement pas suffisamment nombreuses pour contrôler efficacement les populations de moustiques à grande échelle. De plus, d’autres facteurs tels que la disponibilité de nourriture, les perturbations de l’habitat et les maladies peuvent également influencer la population de chauves-souris et leur efficacité dans le contrôle des moustiques.

Bien que les chauves-souris puissent jouer un rôle dans la réduction des populations de moustiques dans certaines régions et circonstances, elles ne sont généralement pas une solution unique et complète pour lutter contre le moustique tigre ou d’autres espèces de moustiques. Il est souvent nécessaire de combiner différentes méthodes de lutte antivectorielle pour obtenir les meilleurs résultats.

En milieu urbain, les prédateurs naturels des moustiques peuvent être moins nombreux que dans les environnements naturels, mais il existe néanmoins quelques espèces qui peuvent jouer un rôle dans le contrôle des populations de moustiques. Voici quelques exemples de prédateurs naturels des moustiques en milieu urbain :

  1. Les chauves-souris : Comme mentionné précédemment, les chauves-souris sont des prédateurs naturels des moustiques et peuvent contribuer à réduire les populations de moustiques dans certaines zones urbaines.
  2. Les oiseaux insectivores : Certaines espèces d’oiseaux, comme les hirondelles, les martinets et les gobemouches, se nourrissent d’insectes, y compris les moustiques. Ces oiseaux peuvent aider à réduire les populations de moustiques dans les zones urbaines où ils sont présents.
  3. Les arthropodes prédateurs : Certains arthropodes prédateurs, tels que les araignées, les carabes, les punaises prédatrices et les larves de libellules, peuvent également se nourrir de moustiques et de leurs larves.
  4. Les poissons : Dans les bassins d’eau urbains, comme les étangs et les fontaines, la présence de poissons prédateurs, tels que les poissons rouges et les poissons d’eau douce, peut contribuer à contrôler les populations de moustiques en mangeant leurs larves aquatiques.

Bien que ces prédateurs naturels puissent jouer un rôle dans la régulation des populations de moustiques en milieu urbain, leur efficacité peut être limitée en raison de divers facteurs tels que la disponibilité de proies alternatives, la perturbation de l’habitat et la présence de sources de nourriture artificielles. Par conséquent, la lutte intégrée contre les moustiques, qui combine différentes méthodes de contrôle, est souvent nécessaire pour obtenir les meilleurs résultats.

Qui décide des actions contre les moustiques sur le domaine public ?

La responsabilité de la lutte contre les moustiques peut varier en fonction de la structure administrative de la région donnée. Dans de nombreuses régions, notamment en France, la lutte contre les moustiques relève souvent de la compétence des autorités locales, telles que les municipalités, les communautés urbaines, les communautés d’agglomération ou les communautés de communes. Ces autorités locales peuvent être responsables de la mise en œuvre de programmes de lutte antivectorielle, de la surveillance des populations de moustiques, de la sensibilisation du public et d’autres actions visant à réduire les risques associés aux moustiques.

Le Règlement Sanitaire Départemental prévoit qu’il incombe aux propriétaires et locataires d’éliminer les gîtes à larves de moustiques (dont le  » moustique tigre « ) au travers des articles 29, 36 et 121 du règlement sur leur parcelle. Les moustiques sont produits à plus de 90% sur les propriétés privées. Le maire agit en termes de prévention (décret du 29 mars 2019).

Règlement sanitaire départemental de la Gironde (document PDF)

Article L2212-2 du Code général des collectivités territoriales

Les Départements qui se sont saisis de la compétence non obligatoire de lutte contre les moustiques peuvent intervenir dans le cadre de la loi de 1964. Le département de la Gironde n’a pas cette compétence.

En savoir plus :

Article 5 – Loi n° 64-1246 du 16 décembre 1964 relative à la lutte contre les moustiques

Voici quelques-unes des actions que les départements peuvent entreprendre dans le cadre de la lutte contre les moustiques :

  1. Surveillance des populations de moustiques : Les départements peuvent mettre en place des programmes de surveillance pour surveiller les populations de moustiques, identifier les espèces présentes, évaluer les risques sanitaires et suivre les tendances de transmission des maladies.
  2. Coordination des efforts de lutte anti-vectorielle : Les départements peuvent coordonner les efforts de lutte anti-vectorielle avec les autorités locales, les services de santé publique et d’autres partenaires pour mettre en œuvre des stratégies de contrôle des moustiques efficaces.
  3. Sensibilisation du public : Les départements peuvent mener des campagnes de sensibilisation du public pour informer les résidents locaux sur les risques associés aux moustiques, les mesures de prévention et les actions qu’ils peuvent prendre pour réduire les populations de moustiques autour de leur domicile.
  4. Recherche et développement : Les départements peuvent soutenir la recherche et le développement de nouvelles technologies et méthodes de lutte antiv-ectorielle pour améliorer l’efficacité des programmes de contrôle des moustiques.

En collaborant avec d’autres organismes et partenaires concernés, les départements peuvent jouer un rôle important dans la protection de la santé publique contre les maladies transmises par les moustiques et dans la promotion du bien-être des résidents locaux.

Le rapport parlementaire n° 3289 du 30 juillet 2020 réalisé au nom de la commission d’enquête chargée d’évaluer les recherches, la prévention et les politiques publiques à mener contre la propagation des moustiques Aedes et des maladies vectorielles fait état de 48 propositions.

En savoir plus :

Commission d’enquête chargée d’évaluer les recherches, la prévention et les politiques publiques à mener contre la propagation des moustiques Aedes et des maladies vectorielles – Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr)

Les évolutions réglementaires et législatives peuvent également être influencées par les progrès dans le développement de nouvelles technologies et méthodes de lutte anti-vectorielle, telles que les insecticides biologiques, les pièges à moustiques innovants et les techniques de modification de l’environnement pour réduire les sites de reproduction des moustiques.

En général, les autorités sanitaires et les gouvernements locaux sont responsables de veiller à ce que les réglementations et les lois en matière de lutte contre les moustiques soient adaptées aux besoins actuels en matière de santé publique et de sécurité environnementale. Ils peuvent mettre à jour les réglementations existantes ou introduire de nouvelles mesures en fonction des changements dans les populations de moustiques, des risques sanitaires émergents et des avancées dans la recherche scientifique.

Les bornes piège Ma Boite à Moustique

Les bornes piège à moustique Ma Boite à Moustique sont un investissement. Leur prix est justifié par les raisons suivantes :

–  Complexité technique du dispositif

–  Robustesse du piège

–  Noblesse des matériaux

–  Technologie embarquée : piège intelligent et connecté

–  Efficacité prouvée

–  Fabrication Made in France

–  Produit qui s’inscrit dans une solution globale premium

Oui, le piège fonctionne car il allie les deux facteurs fondamentaux pour attirer le moustique, l’association du CO2 et du phéromone. L’aspiration permet de lutter mécaniquement contre le moustique et vous pourrez constater dans les filets tous les moustiques que vous aurez capté.

Vous abaissez la nuisance d’environ 73% sur un rayon de 15m.

Nous avons conçu notre produit pour qu’il soit le plus simple possible à utiliser.

Nous vous indiquons via l’application mobile quand remplacer vos bouteilles de CO2 et l’attractif. Les filets sont à vider régulièrement.

Le coût des consommables représente environ 3€ par jour d’utilisation.

La bouteille de CO2 de 10kg permet de diffuser pendant 30 à 40 jours. L’autonomie varie suivant le temps de diffusion programmé.

L’optimisation suivant la météo captée localement permet d’améliorer l’autonomie.

Vous pouvez changer vous-même vos consommables mais nous vous recommandons le passage de votre professionnel au moins 3 fois dans la saison pour un contrôle complet de votre machine et pour effectuer les ajustements nécessaires à votre confort.

Nous proposons un produit design qui s’intègre très bien dans tous les extérieurs et de manière discrète.

Nous nous appuyons sur un solide réseau de partenaire afin d’apporter la meilleure expérience client et de suivi.

Nos buses d’aspirations ont été placées en bas du piège pour lutter efficacement contre le moustique tigre qui chasse au ras du sol. Nous avons une technologie embraquée pour une meilleure optimisation de l’émission du co2.

Aucun produit chimique n’est utilisé pour faire face aux moustiques. Il s’agit d’une lutte mécanique avec un système de flux d’air.

L’empreinte carbone est réduite grâce à l’ajustement automatique du CO2 émis, en fonction des conditions météo passées et présentes.

Taux de CO2 émis équivalent à celui d’un être humain au repos.

Nous ne ciblons que le moustique et pas les autres espèces.

Oui. Le piège est conçu de manière à résister aux conditions météorologiques extérieures et à un environnement extérieur : acier époxy et base en aluminium, pour les zones très humides nous avons également développé une carte tropicalisée (Antilles par exemple).

Le piège est garanti 2 ans date de départ d’usine.

La borne doit être branchée en permanence sur secteur afin que les ventilateurs puissent créer le flux d’air nécessaire au bon fonctionnement du piège.

Il est important de le laisser brancher toute la saison en continu afin de capter un maximum de moustiques, surtout lorsque vous n’êtes pas chez vous, car il deviendra la seule source d’attraction du moustique à ce moment-là.

Le piège se branche au 12V et consomme 0,33 KW/jour.

Non. Cependant, celle-ci apporte de nombreuses fonctionnalités comme le niveau de CO2, le paramétrage manuel des plages horaires de diffusion ou encore l’assistance à distance.